Le Grand Slack réplique aux coups durs de la vie à grands coups d’uppercuts poétiques. Malgré son passé trouble et son absence de diplômes, Le Grand Slack prend d’assaut la scène hip-hop avec des textes sans compromis, abordant des sujets difficiles tels que la pauvreté, la masculinité toxique, la dépendance et l’exploitation des travailleur.euses. Sa plume authentique et tranchante attire l’attention de Manu Militari et DJ Horg, qui collaborent avec lui sur son tout premier album Film Noir. D’abord connu sur la scène de slam, Le Grand Slack se hisse au rang des slameurs les plus intéressants de sa génération. On l’entend sur plusieurs tribunes : Plus on est de fous, plus on lit (ICI Radio-Canada), à la Finale nationale de Slam ainsi qu’au Banff Center for Art and Creativity. Il prend d’assaut les scènes d’art oratoire aux quatre coins du Québec et assène à son public des textes émouvants et percutants « où la tragédie flirte savamment avec la cocasserie » (Le Devoir). Pugiliste verbal redoutable, il remporte plusieurs joutes de slam-poésie et s’illustre trois fois comme finaliste au Grand Slam national.