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Plusieurs groupes au compteur, des premières parties de La Femme ou Nina Hagen et une grosse envie de tout casser : pour son premier album L’amante religieuse, Isïa Marie applique à sa pop l’insolence du rock qu’elle aime tant. Être rock’n’roll, ce n’est pas qu’une question de style musical, de cris dans un micro, de bière sirotée dès 8 heures du mat’ ou de double pédale ! Pour Isïa Marie, c’est un état d’esprit. Une rébellion, un affranchissement, un cassage en règle des codes imposés par la société ou par l’enseignement classique. Dès ses trois ans, alors qu’elle arrive tout juste à se hisser sur le tabouret, elle commence le piano sous l’œil attentif de sa mère professeure au conservatoire. A la maison, Claude Debussy, Johann Sebastian Bach, mais aussi Serge Gainsbourg, Jacques Higelin (qui a inspiré son prénom) et Jimi Hendrix tournent en boucle, adorés par sa mère pianiste et par son père trompettiste professionnel. La musique fait partie de la vie familiale et dès l’adolescence Isïa chante constamment, joue de la guitare électrique dans plusieurs formations rock (Dixit, Eden Pill, Mante), prend des cours de théâtre, et ne peut finalement plus le nier : ça sera la musique, actuelle, pas classique, qui occupera sa vie d’adulte. Et tant pis si ça fait peur. Parce que c’est ça pour Isïa être rock’n’roll : dépasser ses craintes, être insolente quand il le faut, oser être grande gueule et l’ouvrir sans demander la permission.